Préparatifs

[Stefano Peruzzi]

Il est probable que nous mettions encore quelques jours à rendre le wiki opérationnel, donc si la date butoir reste le 26, nous vous demandons un peu de patience.

En attendant, je souhaite à ce que les utilisateurs motivés préparent une bio de leur personnage pour le wiki et proposent du contenu pour les articles sur les villes et régions (en respectant au maximum la trame historique et les BG de l'ancien forum)

[Marie Cossac]

Personnellement je bosse d'arrache-pied sur les Fédés de rugby… j'avance pas à pas.

[Gustav Källstrom-Dudinant]

Je peux faire un article sur Izirgua

[Yevgueni Makhno]

Je vais me concentrer sur une bio plus fournie et détaillée de mon PJ.
Quant à ce qu'il peut se faire autour, genre, villes etc... je ne vois pas tellement ce qu'on peut faire en fait.
Un truc "trame historique de la ville/région" ?

[Louis Lacroix de Beaufoy]

Je peux faire un article sur Izirgua

Ce serait pas mal. ^^

Je vais me concentrer sur une bio plus fournie et détaillée de mon PJ.
Quant à ce qu'il peut se faire autour, genre, villes etc... je ne vois pas tellement ce qu'on peut faire en fait.
Un truc "trame historique de la ville/région" ?

Trame historique oui, notamment. Je conseille de vous appuyer sur l'histoire de frôce rédugée par Alois, qui est très bien fichue !

Je vais tenter une petite histoire du Coeur de Frôce et de la Burgondie-Lorraine.
Et faire la bio de mon personnage (plus celle de sa famille).

EDIT : Pour aider ceux qui veulent faire quelque chose sur les régions ou les villes, je vous mets ici les liens vers les topics de "synthèse", où vous trouverez toutes les infos et rien que les infos sans les débats :
Démographie des villes (ça aide mine de rien !)
Histoire de Frôce
Cartes et géographie
Les gentillés (très utile aussi !)

[Louis Lacroix de Beaufoy]

Bon j'attends vos avis, j'ai fait ça sans relire les fautes, je les corrigerais après.

Je veux surtout savoir ce que vous en pensez. ^^

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Charles Lacroix de Beaufoy
(12 octobre 1924 - 26 août 1999)


Charles Lacroix de Beaufoy, le 12 octobre 1994, à l'occasion de son 70ème anniversaire.

Charles Lacroix de Beaufoy est né le 12 octobre 1924 à Hofbach. Fils du Général Charles-Henry Théodore Lacroix, vétéran de la Première Guerre Mondiale et de Marie-Madeleine Germaine de Beaufoy, il est élevé dans un cadre très strict et militaire.
Il réalise un parcours scolaire brillant dans une école privée, de conviction juive orthodoxe. Sa famille est très croyante et pratiquante. Sa mère décède de la turberculose qu'il contracte également. Malade pendant 2 longs mois, il en guérira miraculeusement. Dans la ville, on le surnomme alors le "Miraculé d'Hofbach".

En 1939, alors qu'il est âgé de seulement 15 ans, il s'engage dans l'armée frôçeuse pour combattre en première ligne, suite au début de la guerre contre l'Allemagne Nazie. La réputation de son père et son courage sur le champ de bataille lui valent d'être promu Sous-Lieutenant du 70ème régiment d'infanterie. Charismatique, il asseoit sur ses hommes une autorité sévère et rigoureuse et en fait ses hommes de main. Lors de la défaite de 1940, son régiment est dissous mais il garde le contact avec ses hommes.

Il apprend au lendemain de l'armistice que son père, resté fidèle au Maréchal Pétain, son compagnon de combat, a été fusillé par les nazis parce qu'il était juif. Comprenant le danger, il prend alors soin de faire rapatrier ses hommes (majoritairement juifs) et leurs familles en France libre. Il tente de sauver son oncle et sa tante mais ces derniers seront arrêtés et déportés. N'ayant plus de famille, il se met au service du Préfet Canelas. Ce dernier le promeut Lieutenant, notamment au vu des états de service de son père, préférant s'entourer de personnes dignes de confiance. Durant l'occupation allemande, il participe à de nombreux attentats contre les nazis et le Maréchal Pétain de façon officieuse, qu'il tient pour responsable, à juste titre de la dénonciation de son père.

En juin 1943, le Préfet Canelas l'écarte de son entourage pour l'envoyer en Île de l'Agrume. Une fois écarté, le Préfet met en oeuvre son plan d'exécution et passe un pacte avec l'Allemagne nazie. Cette dernière fournit davantage d'autonomie à la Frôce en échange de travailleurs, c'est le Traité de Hambourg. A son retour, Charles Lacroix de Beaufoy apprend la situation. Il demande des explications au Préfet. Les deux hommes conviendront que ce pacte avait été nécessaire et renoueront d'amitié. Canelas, admiratif devant l'audace et l'intelligence du jeune homme le promeut Colonnel.

En 1944, il passa de son propre chef, un pacte avec les généraux américains, induisant que la Frôce permette aux alliés de faire tomber le régime nazi et le régime fasciste italien par le sud-est, en échange de la bénédiction des Etats-Unis, alors première puissance mondiale. Les américains, désireux plus particulièrement d'en finir avec une guerre qui commençait à coûter tant sur le plan économique qu'humain, acceptent le marché. Lacroix de Beaufoy parvint à faire accepter Canelas au nom du patriotisme et en inventant de toute pièces une menace d'Hitler d'envahir la Frôce. Le traité est signé, le front des alliés se créé et le 8 mai 1945, l'Allemagne nazie abdique.

Le Colonel aura dirigé un régiment d'infanterie aux côtés des américains. Ce régiment sera responsable de la mort de nombreux soldats nazis et italiens. Il sera sombrement nommé le "Régiment de la Mort" quelques années plus tard. Le Préfet Canelas avec l'aide du Colonel obtient la région de l'actuel pays de Trewig lors du partage de la France occupée et une large partie de la façade atlantique, en 1946. Canelas refusera cependant de créer une alliance militaire avec les Etats-Unis. Il instaure une Constitution et établit une Régence de l'après-guerre. Charles Lacroix de Beaufoy effectue diverses opérations de sécurisation en Trewig.

En 1952, pour les récompenser de sa bravoure, le Préfet Canelas le nomme Général et lui remet la médaille du courage, récompense honorifique des principaux combattants. A la fin de l'année, il apprend que le Préfet est atteint d'une maladie incurable et est mourrant. Sans perdre une seconde il prend contact avec les américains pour rappeler à leur souvenir le débarquement de Provença et leur engagement. Lorsque Canelas décède, en mars 1953, les services de renseignement américain et les militaires, fervents soutiens du Général le propulse à la tête de l'Etat. La prise de pouvoir intervient en quelques jours. Charles Lacroix de Beaufoy après avoir été le plus jeune Sous-Lieutenant, le plus jeune Colonel et le plus jeune Général, devint le plus jeune Dictateur et Chef de l'Etat frôceux.

Il faudra attendre l'année 1956 pour qu'une Constitution soit rédigée. Cette dernière inclut un pouvoir unique appartenant au Chef de l'etat, chargé de légiférer par décret, d'exécuter les lois et d'assurer la justice. Bien que la constitution prévoie une possible délégation de ces tâches, le Général s'en octroie le privilège d'entrée. L'année suivante, il créé la Veilleuse, une police chargée de surveiller la population. Considérée comme une nouvelle Gestapo, la milice effectue des arrestations et des interrogatoires violents. Nombre de personnes dites suspectes sont abattues, notamment des opposants politiques. C'est également cette année qu'il épouse Viviane de Giramont.

La dictature atteint son sommet lorsqu'en 1963, il rédige et signe 3 décrets tuant la démocratie. Les 24 et 25 février, il interdit toute manifestions, formation politique ou syndicale et tout média. Les critiques sur le pouvoir et sur la religion sont interdites, l'actualité censurée. Le 12 août de la même année, il abroge le suffrage universel direct pour le remplacer par un suffrage indirect où seul un collège électoral peut élire des représentants locaux. La population tente de s'y opposer mais est immédiatement réprimée. En parallèle, Charles Lacroix de Beaufoy établit les bases d'un véritable culte de la personnalité. Il fait de nombreuses allocutions, rencontre beaucoup de gens, se montre proche de la population et de ses problèmes. L'économie, soutenue notamment par les Etats-Unis permet la création de nombreux emplois et par le biais d'une politique modérée mais ferme, il permet l'immigration en Frôce. Fervant patriote, il fixe le service militaire à 9 mois et le rend obligatoire.

Son fils, Louis Charles Lacroix de Beaufoy nait le 15 avril de l'année 1964. Il garde un lien solide avec les USA, en leur revendant de l'armement créé en Frôce. En 1965, à la suite d'une grève dans les chantiers navals de Lônes, où étaient construits les porte-avions USS Enterprise, il envoie l'armée mettre un terme au rassemblement. Son image sera ternie par le bilan de 16 morts sur lequel les USA garderont le silence. Conscient de la grogne qui s'installe, il passe un nouveau contrat avec les Etats-Unis visant à moderniser le matériel médical et le confort des habitants. Par de grands travaux de rénovation, il banalise l'accès à l'eau potable, à la télévision d'état et à l'électricité. Les travaux durent de longues années et emploient beaucoup de monde. L'économie vit un âge d'or, le chômage est quasi-inexistant.

Mais en 1970, Charles Lacroix de Beaufoy est hospitalisé suite à un malaise du à des palpitation cardiaques. Les medecins craignent une maladie très grave. La nouvelle est tue et la même année, il signe la fin de l'occupation de Trewig, à la demande des américains. Ces derniers se penchent sur son son cas médical. Ce n'est qu'en 1972 que les médecins diagnostiquent un nodule thyroïdien de type inflammatoire. La cause est auto-immune, elle est du plus particulièrement aux séquelles de sa tuberculose et des traitements qu'il a reçu à cette époque. Cette nouvelle, et les conseils de sa femme le poussent à relâcher son attention et sa main-mise sur le régime. Ne l'entendant pas de cette oreille, certains militaires décident de lancer un putsch militaire, la Révolte des Galons. Mené par le général Laville, les colonels Chesnard et Savarin, il est cependant déjoué et avorté par l'armée, fidèle au Général. Les traîtres sont exécutés en place publique. Chesnard étant marié à Evelyne de Giramont, sa belle-soeur, Charles Lacroix de Beaufoy ne pouvant la supporter pense qu'elle est à l'origine du soulèvement. Il la fait surveiller et décide de l'assassiner. Malheureusement, sa propre femme, très proche d'elle, boira elle aussi la bouteille de vin empoisonnée. Ses funérailles ont lieues une semaine après, le Général est anéanti.

En 1973, il assiste à la fin de l'occupation de l'Armorique et de la Lutécie par le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Les liens avec la première puissance mondiale se refroidissent légèrement. Grâce à un traitement expérimental et chimique, Charles Lacroix de Beaufoy guérit de sa maladie en 1976. Aussitôt rétabli, il plonge dans la paranoïa et durcit son régime. Il officialise le culte de la personnalité, en faisant construit sur toutes les places publiques des statues à son effigie. Il légalise l'usage de la torture et en fait même un minimum pour les interrogatoires. Les USA prennent leur distance et il est désapprouvé par son entourage, notamment son fils. Ce dernier lui tient tête et se marie avec Pauline Lombanc, une ancienne prostituée. Ne tolérant pas cet écart de conduite, Charles Lacroix de Beaufoy le renie et le déshérite. Son fils participe en 1983 aux émeutes de Nobles des Prigors. Arrêté, il sera torturé sur ordre de son père pour l'exemple puis libéré. Le bilan humain s'élève à 11 morts. L'évènement créé un certain émoi dans le pays que son fils tente de transformer en révolution. Le 28 décembre 1984, le Général est grand-père d'un certain Louis-Damien que ses parents nomment Lombanc, dans l'unique but de défier le Général. Il l'apprendra par la Veilleuse qu'il a chargé de surveiller son propre fils. Devant la désobéissance et l'adversité dont il fait preuve, il décide de l'éliminer en mars 1985. Louis Charles Lacroix de Beaufoy et son épouse sont exécutés chez eux par l'armée. Le jeune Louis-Damien est recueilli par son grand-mère qui détruit son état-civil et le fait porte le nom Lacroix de Beaufoy.

Il élève l'enfant avec énormément de sévérité, ne faisant jamais aucun compliment, et l'incitant dès son plus jeune âge à de sombres activités. Il le fait prendre en charge par la Veilleuse dès l'âge de 13 ans. Et lorsqu'il est échoue, il fait preuves de corrections physiques violentes. De façon générale, son régime se durcit encore et l'admiration se transforme rapidement en terreur. De nombreux innocents sont torturés voire tués, tandis que les opposants sont exécutés dans un spectacle d'apparente barbarie. Il est bientôt surnommé le "Boucher". En 1994, il fête ses 70 ans lors d'une grande fête publique où la présence des gens sera obligatoire. Il charge son petit-fils de l'arrestation d'opposants pacifistes et apprend que ce dernier aide les cibles à fuir. Cependant, la fatigue le contraint à se montrer moins sévère. Les cinq dernières années seront les plus longues pour le pays. Si l'économie se porte bien, la pression internationale fait que de plus en plus de pays condamnent la répression du régime. Charles Lacroix de Beaufoy menace de lancer une large offensive en Europe contre tous ceux qui osent le menacer. Son état de santé se dégrade en 1998. Craignant un empoisonnement il fait abattre par la Veilleuse les principaux gradés militaires l'entourant. L'armée, sans véritable commandement se trouve dans une position de faiblesse, quelle ne quittera plus.

Le 26 août 1999, un communiqué annoncé à la Frôce entière le décès de Charles Lacroix de Beaufoy dans la nuit, des suites d'un cancer à la thyroïde. La nouvelle provoque des manifestations de soulagement et de fête dans les rues. Le pays comme la communauté internationale est soulagé par cette mort. Les principales statues sont déboulonnées. Les funérailles se déroulent en privée et en secret pour éviter toute émeute. Le corps est enterré au Cimetière d'Hofbach et sa tombe est souvent souillée par des grafitis "Sale Boucher". En 2005, le Préfet Drouet, avec la pression de l'ONU procèdera à la condamnation posthume de Charles Lacroix de Beaufoy pour crime contre l'humanité et violation des droits de l'homme. L'ensemble de sa fortune est saisie par l'Etat. Cet argent fait l'objet d'un scandale en 2008, lorsque la presse mentionne le fait qu'il a été volé aux familles exécutées et à nombre de personnes décédées. L'information provoque un tollé et une vive émotion qui ternissent définitivement l'image de l'ex-Général.

[Hélène Le Menn]

Kervern (Basse-Armorique)

I] Informations générales

Population : 261.434 habitants
Gentilé : Karnagais, Karnagaise
Nombre d'électeurs : 196.337


II] Histoire


III] Personnages célèbres vivant ou ayant vécu à Kervern


IV] Sport à Kervern

Stade de l’Amirauté

Le stade de l’Amirauté peut accueillir au maximum 36.811 spectateurs en même temps. Ce complexe accueille également une salle de 3.992 places accueillant des matchs de basket, handball et aussi d'autres sortes d'évènements politiques (meetings, réunion publiques) et culturels (concerts, représentations théâtrales). Il y a aussi un court de tennis disposant de 852 places toutes assises.




(à compléter bien évidemment, surtout concernant l'Histoire de la ville !)

[Stefano Peruzzi]

Modifie un peu le stade

Kervern :

Stade 36811
Salle 3992
Courts tennis 852

[Hélène Le Menn]

Hélène LE MENN

Née le 6 septembre 1982 à [[Aspen|Aspen]] (Frôce), mais originaire par ses parents et leurs lieux de naissance, de [[Basse-Armorique|Basse-Armorique]], Hélène a passé une enfance calme malgré les faits d'armes de ses parents pendant la dictature. En effet son père était communiste révolutionnaire et sa mère, anarchiste chevronnée, discrète mais efficace... Leur implication, surtout leur fils aîné, dans un attentat contre le Commissariat Central de Chouchenn en mars 1995, signa leur arrêt de mort. En effet, deux ans plus tard et au bout d'une enquête acharnée et minutieuse, la [[Veilleuse|La Veilleuse]] alla les "cueillir" à leur domicile.


== Une jeunesse banale ou presque ==

Hélène a toujours été serviable et à l'écoute de l'autre, dans un profond respect de l'éducation qui lui avaient inculqué ses parents, anarchiste et communiste... Jusqu'à l'âge de 15 ans, elle suivit une scolarité normale, ayant de bonnes facultés intellectuelles... L'arrivée en seconde marque un tournant dans sa vie. Son premier amour, sa première nuit torride... Bref, l'année de la découverte en somme ! Mais souvent le cas pour nombre de garçons et de filles de son âge !


== Le 22 avril 1997 ==

Le matin du mardi 22 avril 1997, le père de Hélène, [[Yannig Le Menn|Yannig Le Menn]] reçu un coup de téléphone de l'un de ses camarades et grand ami pour lui annoncer qu'il avait vu la Veilleuse se diriger vers leur quartier... Étant sur leurs gardes depuis l'attentat contre le Commissariat Central de Chouchenn, les parents prirent donc la décision au moment d'amener les filles au lycée et l'école, de les cacher dans la cave dissimulée aux yeux de tous et prévue à cet effet... Puis quelques minutes plus tard, les miliciens arrivent chez les Le Menn. Le père ouvre et se fait frapper au visage violemment entraînant un cri horrible de la mère, Stéphanie... Les deux filles commencent à s'inquiéter ! Et étant l'aînée, Hélène prend sa sœur dans ses bras pour la calmer car un simple bruit pourrait les dénoncer ! En pendant qu'elle essaye de consoler et de rassurer sa sœur, elle jure qu'elle la protégera jusqu'à la fin de sa vie... En entendant que quelqu'un avait ouverte la cage cachée, affolée, les deux sœurs se cachèrent ! Mais en voyant le jeune milicien, Hélène se releva et se montra à l'intrus ! Ce dernier était mignon mais trop jeune pour l'adolescente "mangeuse d'hommes", du fait d'avoir eu un an 6 aventures... Il leur assura qu'il ne dirait rien aux autres. Mais après qu'ils aient quitté la maison, Hélène pensait que ses parents avaient été accusés à tord, la naïveté de la jeunesse en quelque sorte ! Mais cinq coups de feu retentirent accompagnés des peurs sans précédent qui envahissaient les esprits de Hélène et Solenn, la petite dernière... Hélène lui demanda de rester cachée ici, en allant savoir ce qui s'était passé devant la maison. Elle prit le soin de sortir par derrière et de se cacher dans un bosquet où on pouvait avoir la meilleure vue de l'environnement ! C'est alors qu'elle vit la satisfaction des miliciens monter dans le camion et la berline pendant que le jeune garçon chargeait les corps de ses parents et de son frère... Se remémorant les paroles du garçon qui disait que tout allait bien se passer... C'était donc en plus des sentiments de rage envers la milice et de tristesse qu'elle sentit la trahison et le dégoût s'emparer d'elle à la vue de ce beau garçon... Depuis ce jour, elle s'est jurée à elle-même ainsi qu'à sa sœur qu'elle ferait payer cette trahison à ce garçon !


== Le reste de la dictature par l'œil de Hélène ==

A part ce terrible 22 avril 1997, Hélène n'aimait pas la dictature, mais en fit abstraction du fait de sa jeunesse et de son innocence... Ses grands-parents maternels avaient eu toutes les peines du monde à récupérer leurs deux petites filles, qui avaient été recueilli par le meilleur ami du père Le Menn... Donc pendant deux ans, les deux sœurs vivaient cachées à 200 mètres de leur maison où l'on voyait encore les impacts de balles qui avaient soient ratés leurs cibles ou carrément transpercés le crâne de leurs victimes respectives. A ces impacts, étaient accompagnés une pancarte indiquant " Ici, vivaient la pire vermine qui soit, des anarcho-communistes, voulant détruire la grandeur de la Frôce ! Pour le bien-être des habitants et la Grandeur de la Nation, ils ont été éliminés !"...
Ayant eu un retard de deux ans dans leur scolarité les filles avaient été envoyées chez leurs grands-parents en [[Armorique|Armorique]], à [[Faerys|Faerys]], le plus loin possible de la Frôce pour leur sécurité... Finissant leurs parcours scolaires... 3 ans après la mort du dictateur, elles rentrèrent toutes les deux à [[Chouchenn|Chouchenn]], finir leurs études. Mais eurent du mal démontrer que leurs diplômes pouvaient être valables en Frôce... Ayant obtenu son bac à 20 ans, Hélène entreprit des études de sociologie à l'[[Université de Chouchenn-2|Université de Chouchenn-2]] pendant 3 ans, le temps d'avoir la Licence ! Ayant passé sans encombre, le diplôme d'assistante sociale, elle obtint dans la foulée un poste dans un lycée difficile de la banlieue de Chouchenn...
Puis apprenant comme tous les Frôceux, l'ouverture du procès à titre posthume du Général [[LACROIX DE BEAUFOY Charles|Charles Lacroix de Beaufoy]] et de son régime en général, Hélène avait décidé de rejoindre l'Association des Familles de Victimes afin d'avoir plus de poids... Malgré le déboutement du petit-fils du dictateur, [[LACROIX DE BEAUFOY Louis-Damien|Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]] par la justice frôceuse - ce petit garçon qui avait 12 ans qu'il lui promit que rien n'allait arriver à sa famille - Hélène se sentit trahie par la justice de son pays, dernière institution en laquelle elle croyait se reposer pour vivre plus tranquillement et connaître la vérité sur le massacre de sa famille. Histoire de conclure son deuil également...
Et plus elle vieillissait et en voyant le petit fils, et son charme augmentant d'années en années... Mais sa rage prit le dessus sur son côté humaniste et ouvert ,Laissant toujours une seconde chance aux autres... C'est pourquoi, deux semaines après le procès, elle porta plainte contre Lacroix de Beaufoy pour meurtre pour sa famille et tentative de meurtre sur sa personne et celle de sa jeune sœur ! Mais par manque flagrant de preuves, il fut encore innocenté... Terrible désillusion pour Hélène et sa sœur...


== L'après-procès ==

Malgré la déception et l'augmentation de sa rage liée la mascarade du Procès le plus important de l'Histoire du Pays, Hélène retourna à son travail d'assistante sociale d'une telle banalité que cela ne sert rien de vous relater son histoire pendant l'année suivante... Depuis quelques mois donc, elle sentit qu'on l'espionnait sans cesse et aperçut de loin Louis-Damien. Bouillonnante de rage et d'envie de violence, elle fit semblant de faire ce qu'elle avait à faire, de ne pas chambouler son quotidien. C'est alors que le lendemain, elle l'attendait dans la ruelle qu'elle prenait tous les jours entre "son" bureau de tabac et le lycée où elle travaillait... Gagné, Louis s'engouffrait deux minutes plus tard et puis tomba nez à nez sur Hélène. Il lui fit un sourire maladroit que l'on pourrait aisément confondre avec un sourire de pervers... La donzelle n'appréciant pas du tout ce sourire, "arma" son poing alors que Louis l'évita une première fois et lui implora de l'écouter. 2ème esquivé, c'est alors qu'il lui tendit une lettre... Cette fois, elle le rata pas, loin de là car Louis sortit de la ruelle avec l'arcade sourcilière éclatée et pissant le sang ainsi que le triste état de ses lèvres pendant Hélène déchira la lettre...
C'est après cet épisode, que Hélène décida de déménager et de convaincre Solenn de changer de ville, afin que l'on s'en prenne pas à elle aussi...
Hélène se doutait de quelque chose de bizarre chez ce Louis-Damien... Pourquoi, tenait-il tellement à lui parler, mais qu'il avait arrêté de l'approcher quand elle l'avait menacé de porter plainte pour harcèlement ? C'était quelque d'horrible qui se tramait dans l'esprit d'Hélène, cette période permanente de doute à l'égard de ce beau mec, bien bâti ! Avec sa sœur, elles avaient décidé d'engager un détective privé, un peu véreux "sur les bords", sans grand succès !


== L'épisode de la librairie ==

Le hasard fit qu'à l'été 2008, Hélène avait été invitée par sa meilleure copine de fac pour faire 15 jours de randonnée dans les Prigors. Pendant qu'elle passait une petite semaine chez Clémentine avant de partir avec elle en rando', Hélène était allée dans la meilleure librairie de [[Hofbach]] pour acheter des bouquins sur les Prigors, montrant les "GR", les gîtes d'étapes et autres refuges en montagne... C'est en entrant qu'elle vit Louis-Damien à la caisse. Oscillant entre l'admiration et la haine de Louis-Damien, présentes en elle depuis le 22 avril 1997, Hélène décida de ne rien faire de méchant physiquement... En choisissant les livres qu'elle trouvait les plus pertinents, elle se dirigea vers Louis. Et là, elle se fit plus que plaisir en le critiquant vivement, en faisant exprès de parler du matin du 22 avril 1997, entraînant les bourdes de Louis. Comme lui rendre en plus de ce qu'elle devait recevoir de la monnaie... Et le pompon, c'est qu'Hélène le traita de voleur par dessus le marché ! Au retour de ses superbes vacances, entre filles dans les montagnes et la rencontre de son "Jules", Julien, elle était plus que rayonnante !
Étant donné que le premier détective privé, que Hélène avait embauché, était nul, elle dût en embaucher un autre... Le suivant était bien plus efficace car au bout d'un mois, il trouva Louis-Damien Lacroix de Beaufoy et malgré ses précautions, le petit-fils de l'ancien dictateur le remarqua au bout d'un mois de filature... C'est alors, comme si de rien était, Louis-Damien l'attendit un jour et lui remit une lettre pour Hélène. Quelques jours plus tard, Hélène reçut cette lettre et sans prendre la peine de la lire la donner à son chien, un rotweiller !


(La suite, bientôt ! )

[Hélène Le Menn]

Par contre, faudrait que je me cale avec Louis pour notre RP... Donc ça peut changer cette histoire, désolé. Je l'ai joué punk jusqu'ici ! ^^'

[Louis Lacroix de Beaufoy]

T'inquiètes, je poste mon histoire sous peu, ce soir après minuit ou demain !
On verra les finitions tous les deux en privé, mais je vais faire en sorte que tu n'aies pas à tout changer. ^^

[Hélène Le Menn]

Bah d'après Quentin, tu aurais 11 ans à la dissolution de la "Veilleuse"...

[Louis Lacroix de Beaufoy]

Oui j'étais en train de travailler sur cette question. En fait, faudrait retarder la date d'exécution de ta famille au 22 avril 1997.
Mon personnage aurait 12 ans et quelques.
On peut mettre l'année d'après en 1998 ça lui ferait 13 ans et ça coinciderait avec la période parano du pépé. XD

Par contre, tu peux peut-être réduire l'âge d'Helène de 2 petites années. ^^

[Hélène Le Menn]

Donc elle serait née en 1988 ?

[Louis Lacroix de Beaufoy]

Hein ?

Née le 6 septembre 1980

Elle serait née en 1982 pas 1988. XD
Et ça ne lui ferait que 2 ans d'écart avec Louis-Damien ce qui somme toute est mieux que 4. ^^

En fait, là maintenant, elle aurait 28 ans (au lieu de 30) et Louis-Damien 26. ^^

[Hélène Le Menn]

d'accord ! ^^'

[Hélène Le Menn]

J'ai amélioré le tout après m'être entretenu avec Louis pour notre futur RP ! Il va être géant, je vous le dis ! Et j'ai hâte de le commencer putain !

[Thraldom Loans]

ça donne envie :p

[Louis Lacroix de Beaufoy]

ça donne envie :p

Je te le fais pas dire !

[Hélène Le Menn]

Alors t'en penses quoi, Louis ?

[Louis Lacroix de Beaufoy]

Bah ça me va, sauf sur la fin, où en fait, tu oublies le passage sur la bilbiothèque et le fameux détective.

[Hélène Le Menn]

Je sais, j'ai pas fini ! ^^'

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